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Que d’eau, que d’eau...

C’est en ces termes que président MAC MAHON se serait exprimé en 1875 lors des inondations de la Garonne. Ce rappel aux facéties du président de l’époque, nous renvoie à la coupure sauvage qui devait être mis en oeuvre par SUEZ pour des raisons ... Qu’eux seuls semblent connaître. La coupure du 28 février qui devait démarrer de 10h à 17h, a débuté aux environs de 14h.

Rendons à César ce qui lui appartient et disons que la direction a été sur ce coup réactive, compte tenu de la forme et du fond de l’information transmise par ce géant de l’eau à la communication minimaliste...

Néanmoins deux conceptions, de la notion de Télétravail exceptionnel se sont opposées dans le cadre de la résolution de cet incident. Celle minimaliste et rigoriste de la DBLI qui s’en est tenu à l’obligation pour bénéficier de ce jour flottant (et pour cause... ;-) ) d’avoir conclu une convention de télétravail qui en tout état de cause ne pouvait excéder trois jours, et celle du Chef de Pôle Etat et Missions Transverse, M. Christophe MOREAU, qui a bien compris que le bon sens devait dans ce cadre, prévaloir.

La CGT est monté au créneau et ce afin d’obtenir, une Autorisation d’absence pour l’ensemble des agents, considérant que les conditions sanitaires résultant de cette coupure posaient un certain nombre de problème.

C’est finalement la solution " télétravail" qui a été retenue.

En tout état de cause, nous vous invitons à nous contacter si toutefois, vos Chefs de Service s’en tenaient à l’analyse minimaliste de la DBLI.

Article publié le 28 février 2024.


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